
Nzimbu en langue Kikongo signifie le chant et aussi la fortune, quand des petits coquillages, les cauris, servaient encore de monnaie d’échange.
Ray Lema, l’un des pères à 69 ans de la musique centrafricaine moderne, poursuit l’exploitation d’un minerai précieux de l’immense Congo: ses chants traditionnels.
Ray Lema, l’un des pères à 69 ans de la musique centrafricaine moderne, poursuit l’exploitation d’un minerai précieux de l’immense Congo: ses chants traditionnels.
Dans Nzimbu le grand Ray Lema a voulu fait chanter l’âme des deux Congo (la RDC et le Congo Brazzaville).
Nzimbu c’est trois générations de voix réunissant les deux Congos, quand la forêt des pygmées rencontre la rumba de Kinshasa, le rap et le hip-hop de Brazzaville. Au côté de Ray Lema, Fredy Massamba, la star du hip hop à Brazzaville, et Ballou Canta, le roi de la rumba à Kinshasa.
« sa voix s’unit à celles de Fredy Massamba et Ballou Canta pour évoquer avec douceur et gravité un Congo douloureux, souffrant, mais aussi multiple, polyphonique et fascinant de beauté. » (les Inrocks)